Serge Abad Gallardo, ex franc-maçon converti : Il a 62 ans. Il est architecte de formation, il possède un 3ème cycle de droit administratif, il est aussi ancien haut fonctionnaire. Il vit dans le Midi de la France. Serge Abad-Gallardo a été franc-maçon durant 24 ans. Elevé au 18è degré en tant que vénérable maitre d’une loge du droit humain, une émanation du Grand Orient. Comment est-il arrivé en franc-maçonnerie ? Le hasard d’une rencontre mais surtout un état de fait : Serge est né dans une famille d’origine espagnole. Une famille de tradition « catholique » mais qui, comme la majorité d’entres elles, ne pratique pas. Peu à peu, Serge s’est éloigné de l’Eglise. « La famille se rendait très peu à la messe le dimanche. Dans la famille, la messe était quelque chose de festif uniquement lié à des événements familiaux ». Ce « vide » spirituel, il va rapidement chercher à le combler. Une approche, une rencontre, Serge arrive en franc-maçonnerie. Serge Abad Gallardo : « La Franc-maçonnerie est luciférienne » A une époque où il est presque de bon ton d’annoncer son appartenance à la FM (dans le gouvernement de François Hollande, presque tous les ministres en faisaient partis), Serge Abad Gallardo a décidé au contraire d’annoncer son horreur d’avoir été l’un de ses membres. Après 24 ans passés en son sein, il affirme : « La Franc-maçonnerie est luciférienne. Tous les satanistes sont franc-maçons. Aleister Crowley, était sataniste et franc-maçon. Albert Pike l’était également. Pour lui, « la religion maçonnique est la religion luciférienne par excellence… ». L’influence de la franc-maçonnerie dans la politique

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Daniel Balavoine : "J'emmerde tous les pouvoirs !" (TF1 direct)7 sur 7 (TF1), 23 octobre 1983, soir de l'attentat du Drakkar au Liban qui coûta la vie à 58 parachutistes français, Daniel Balavoine réagit à chaud à l'actualité puisque son propre frère est militaire et sert dans le contingent basé à Beyrouth qui vient d'être frappé par l'attaque terroriste. Après être resté des heures durant dans l'incertitude, il apprend à la dernière minute que son frère est vivant, c'est donc un homme stressé encore sous le coup de l'émotion qui prend la parole. Visionnant des reportages il est alors exaspéré par les commémorations au même moment d'anciens combattants et de leurs propos souhaitant à la jeunesse actuelle "une bonne guerre" pour qu'elle apprenne à vivre. Son coup de sang ne se fait pas attendre. Il s'excusera publiquement quinze jours plus tard devant la pression en arguant qu'il regrettait si des résistants, déportés ou combattants s'étaient sentis visés par ses propos tout en conservant ses insultes contre ceux "qui nous souhaitent la souffrance et la guerre" en soutenant que ses propos étaient exclusivement adressés à ces gens là. Cinq mois plus tard dans le même fauteuil Gainsbourg brûlera un billet de 500 F.

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